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Le développement de jeux vidéo façon bordelcore

Kyuuuu, c’est Hefka Le Nekopunk ! Je suis un développeur de jeux vidéo solitaire et j’ai un mode de vie très chaotique. Je veux dire par là que je pars du principe que les règles et les lois sont faites pour êtes constamment remises en question et que je n’ai aucun problème pour y faire des entourses à tout va – entendons-nous bien : ça ne veut pas dire que je peux tout accepter. Dans un JRPG, j’aurais été un voleur. En tant que félin, j’aurai une stat de vitesse assez conséquente.

Bref, j’ai déjà un jeu développé, Warcat Parade à mon actif. Développement qui a été chaotique et qui ne s’est jamais passé comme prévu (appartement squatté, accusation à tort d’un crime très grave, dépression…) si bien qu’il a pris beaucoup plus de temps que prévu. Mais il est là, sur Steam. Maintenant je peux enchainer avec mon second projet, Adamant!

Comme je disais donc, je suis un mec qui a gardé une mentalité d’adolescent et qui est très chaotique. Ca se voit quand je développe mes jeux vidéo et ça se voit aussi dans mes jeux eux-mêmes et même dans ma musique. Disons que dans les écoles de jeux vidéo, on vous apprend plein de trucs et moi je vais être le clampin qui ne va rien faire comme tout le monde et qui ne va pas hésiter une seule seconde à prendre tous les risques.

L’action du jeu Warcat Parade se passe dans un Nîmes futuriste et dystopique. Vous allez me dire, vu le temps de développement, j’aurais pu demander un financement. Et moi je vous réponds : « Lol ! Un financement ? Pourquoi faire ?« . Et ne me parlez pas de langage professionnel avec des trucs comme « Trello », « Previsionnel » etc.

Bordelcore

Chez Hefka Hames, le one-nekopunk studio, la façon de développer les jeux est très simple : on (je) s’en bat les couilles, on fait ce qu’on veut quand on veut et on emmerde les gens qui font tout comme tout le monde, à commencer par les tiktokeuses ! Et je ne dis même pas ça en rigolant. J’ai bel et bien essayé de m’organiser, de faire des plannings, des cahiers des charges et tout, mais ça me casse tellement les roupignolles que finalement, merde.

La gestion de planning, chez moi, ça ressemble plutôt à ça :

Au fait, je n’ai jamais fait d’école de jeux vidéo. Et vous savez à quel point je suis bordélique ? J’ai décidé du nom de mon projet actuel après avoir en écrit le scénario… J’ai écrit le scénario du jeu après avoir commencé le level design, et j’ai commencé le level design avant de soumettre le jeu au MGL. Avec un peu de chance, il va intégrer un incubateur à Montpellier. Sinon c’est pas grave. Il me manque quand même des trucs pour la communication. Même si les dramas de harcèlements en tout genres me dégoûtent – je m’oppose radicalement au harcèlement. Je vous l’avais dit que je ne peux pas tout tolérer -, j’admets que quand on me lit et même quand on me regarde, avec ma dégaine de metalleux, on n’a pas trop envie de venir vers moi.

Voilà où j’en suis avec « Adamant! », mon projet actuel ! A la base, je voulais faire un jeu plus facile que ce que je fais d’habitude. Mais finalement, il aura la difficulté d’un Crash Bandicoot. Hardcore un jour hardcore toujours, j’ai envie de dire.

Totalement hors-sujet !

Voilà, à la Japanonymes, j’ai acheté mes premiers boosters packs pour des cartes de Hatsune Miku. En réalité, j’en ai rien à faire de ces histoires de rareté et de collection, c’est juste que j’adore les cartes et je ne pourrais pas vous expliquer pourquoi. C’est sans doute pour ça que les « collectibles » dans Adamant! sont des cartes.

Oui parce que si vous avez bien regardé le tableau blanc, vous avez vu la phrase que j’ai encadré pour me décourager de me remettre aux jeux de HoyoVerse.

C’est tout pour aujourd’hui ! Bon week-end !

Hefka Le Nekopunk

Published inHefka Catboy Platformer

Brise la glace !

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