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Les valeurs de Hefka Games.

Last updated on 14 novembre 2025

Il y a plein de (mauvaises) raisons de créer une entreprise, celle que nous avons tous en commun est de vouloir changer le monde. Et moi, pourquoi j’ai fondé Hefka Games ? Certainement pas pour l’argent ni pour la réputation. Sinon, ça ferait longtemps que j’aurais créé un compte instagram pour l’entreprise et que j’aurai fait du community management de sauvage. Mais j’ai horreur qu’on me prenne pour un imbécile et, par cause à effet, j’ai également horreur de prendre les gens pour des imbéciles. Malheureusement, force est de constater que personne n’a besoin de leur dire, puisqu’ils le savent déjà.

Parlons du cas Facebook

Avant même que Edward Snowden ou encore Julian Assange ne tirent des sonnettes d’alarme à droite à gauche, je prévenais tout le monde, dès 2007 alors que j’étais en BTS IRIS au lycée de la CCI de Nîmes, que Facebook c’était le mal. La problématique de l’époque était le vol de données personnelles. Ça posait deux problèmes : tout le monde savait tout de tout le monde (pratique pour les stalkers) et les gens défendaient le gouvernement pour les mauvaises raisons : « ça aide à traquer les criminels / si tu n’as rien à te reprocher, tu n’as rien à craindre ». Et déjà à l’époque, je répondais : lol ! Même aujourd’hui, vous pensez qu’ils en ont quelque chose à foutre, vos criminels ? Ils savent brouiller les pistes, c’est pas eux qui sont ciblés (surtout lorsque les criminels en questions sont bien placés politiquement, mais c’est encore un autre débat).

En dehors du fait que votre vie est, entre autres, cartographiée par des agents marketing qui savent tout de vous et qui calculent leur prochain coup pour vous inciter à sortir la carte bleue sans pour autant vous y obliger (c’est très important, retenez bien), le monde entier n’en a rien à foutre de votre vie. Revenons un instant sur cette histoire de carte bleue. On vous incite à la sortir, avec des moyens subtils, mais on ne vous y oblige pas. C’est très important, parce que là, on ne peut plus parler de racket et vous perdez votre droit de rétractation.

Depuis 2007, soit mes années de BTS, j’arrête pas de tirer des sonnettes d’alarme et on me fermait le clapet avec la réponse magique : « T’es un adolescent en crise, ça te passera ». Spoiler alert, j’écris cet article en 2025 et je suis un peu trop vieux pour qu’on parle de crise d’adolescence. Il aura fallu attendre je ne sais quel reportage télévisé pour que même ma daronne se range de mon côté (le sacro-saint écran de télévision qui t’explique quoi dire, quoi faire et quoi penser…)

Parlons des cas Instagram, Spotify, Netflix, etc.

Il est devenu normal d’utiliser des applications de réseautage. Il est devenu normal d’écouter la musique sur Spotify. Il est devenu normal de regarder des films sur Netflix. Et j’ai envie de vous dire : si ça c’est normal, je suis bien content de ne pas l’être. Dès le début, je me méfiais de l’engouement généré par ces applications. Autant je pouvais le comprendre au début lorsqu’on n’en savait rien et que ça s’apparentait juste à un Facebook pour djeun’z. Mais la situation a changé.

Toutes ces entreprises ont bel et bien réussi à changer le monde, mais pas d’une manière louable. Nous avons prouvé par maintes façons, et nous avons des documents écrits qui démontrent les ravages que causent l’utilisation de ces entreprises. Comme cet article n’est pas supposé être un tout mais une piste, je vous laisse explorer. Sachez juste que lorsque vous vous abonnez à Spotify, votre argent finance le génocide en Palestine, l’avancée de l’intelligence artificielle militaire et des convictions très à droite. Mais ça, vous le savez sûrement déjà.

Parlons des utilisateurs qui ne savent pas

C’est normal de ne pas savoir. A vrai dire, au début je ne savais pas non plus, j’avais juste un sacré mépris de ces applications. Même si elles n’étaient pas aussi problématiques, je ne les utiliserai tout de même pas parce qu’en dehors de l’aspect politique, c’est surtout un délire que je ne comprends pas. Instagram, quand on y regarde bien, n’est-ce rien de plus qu’un grand panneau de publicité ? Et vous allez me répondre « mais on peut mettre le profil en privé ». Mon cul ! Qu’est-ce que vous en savez que votre profil est privé ? Parce qu’on vous a bêtement dit qu’il était privé, il est forcément privé ?

Parlons des utilisateurs qui savent

Je vous préviens tout de suite, je ne vais pas être très gentil. Si vous savez qu’instagram tolère les discours homophobes, racistes, laisse les fascistes tranquilles et que ça vous va. Vous êtes des pigeons. Mais si en plus de cela, vous l’acceptez, que vous continuez de vous en servir et que vous ne voyez pas où est le problème, excusez-moi de dire ça, mais vous n’êtes plus des pigeons là, non, vous êtes carrément des singes, au même titre qu’un SS !

Et moi dans tout ça ?

Soyons clair. Parler c’est bien, agir c’est mieux. J’ai pas instagram. J’ai pas Spotify. J’ai pas tiktok non plus, mais concernant ce dernier, c’est plutôt parce que je n’aime pas ce réseau. Le problème, c’est que j’ai parlé des gens qui s’en servent dans leur vie privée, mais j’ai oublié quelque chose… Les entreprises. Vous pouvez être aussi vertueux que vous le pensiez, ne pensez pas que vous ne collaborez pas avec le gouvernement américain sous prétexte que vous vous en foutez ! Ca ne marche pas comme ça et ce n’est pas moi qui écrit les règles !

Le boycott fait couler des entreprises. Aujourd’hui, plus personne ne parle de Tesla et ils ont pris un coup dans le chiffre d’affaires, précisément parce qu’on les as lynché grand format.

Vous allez me rétorquer « il faut chercher les gens là où ils sont ». Oui, et qui vous dit que les gens vont se laisser pigeonner longtemps ? On disait la même chose en 2012 à propos de Facebook. Sauf que les entreprises, aujourd’hui elles réfléchissent plusieurs fois avant d’investir du temps dans Facebook. Il y en a des réseaux respectueux, fréquentés par des gens respectueux. Si vous êtes LGBT, ça vous intéressera sûrement et ça sera plus calme pour vous que l’ambiance toxique et homophobe qui règne dans les réseaux mainstream. Et vous savez sûrement de quels réseaux je parle.

Que défend Hefka Games ?

Mes convictions, mes décisions. Les gens doivent être libres de choisir. Si vous choisissez la haine, c’est votre choix, grand bien vous fasse. Moi, je suis convaincu que tout le monde mérite d’être heureux, sauf l’extrême droite. Pourquoi ? La raison de ce tri sélectif vient de ce qu’il s’est passé en 2022 après le rachat de Twitter par Elon Musk. A la base, je voulais divertir tout le monde. Mais si les bouseux qui votent Marine veulent une deuxième bagarre, beh ils vont l’avoir. Pour les autres… Amusez-vous bien ! Je suis sauvage mais quand je mords, c’est que j’ai une bonne raison de le faire.

Hefka Le Nekopunk

Published inGénéral

Brise la glace !

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