Last updated on 14 novembre 2025
(DISCLAIMER : Quand je dis « Point stratégie », je parle d’un état des lieux sur l’avancement de mes projets liés à mon activité de développeur de jeux vidéo et pas de comment jouer Pérégrine dans une équipe Hyper Break)
Miaou, kyuuuuu ><
Pérégrine
Ci-dessous, voici un pixel art réalisé par moi-même, il s’agit de Pérégrine du jeu Honkai Star Rail. Je préfère de loin le nom français au long anglais (Fugue) tiens. J’ai obtenu le personnage alors qu’elle était en bannière au bout de 30 tirages, autant dire que j’ai eu pas mal de chance. Concernant le pixel art, il a été réalisé avec Aseprite, avec des dimensions de 256 pixels de côté.
J’ai, comme d’habitude, utilisé ma palette fétiche, celle de la console virtuelle Pico-8. J’ai pris la liberté d’ajouter des couleurs lorsque j’estimais que c’était nécessaire, par exemple lorsque je n’avais pas la bonne teinte pour faire ses cheveux ou certains détails de ses vêtements qui sont, au passage, exagérément compliqués à dessiner. Ça va les cosplayeuses, ça va pas être trop dur à porter ? Bon courage !
Au final, il n’y a que la queue qui m’a posé problème. De mémoire, j’ai cru qu’elle avait cinq queues de renard, mais elle n’en a qu’une seule gigantesque. Et vu l’angle dans lequel je l’ai dessinée, j’aurais du m’abstenir et garder sa queue dans l’angle mort.
Ceci va être le paragraphe le plus cringe que vous allez lire avant un bon moment. J’aimerais trop que quelqu’un fasse une fanfic où mon persona de catboy serait shippé avec elle. Côté obscur a accepter, ce genre de trucs.
Point stratégie
Où j’en suis à propos de mon activité ? Sais pas. Comme je m’y attendais, Adamant n’a pas passé la sélection pour rejoindre le Montpellier Game Lab. Disons que je ne m’attendais pas à grand chose de plus. Même pour l’industrie du jeu vidéo, je suis trop immature et atypique, semble-t’il. A vrai dire, ce n’est sans doute pas une mauvaise chose. D’abord parce que je me demande si ce projet a réellement du potentiel – les jeux de plate-forme sont légion tellement ils sont faciles à réaliser – ensuite parce que je ne suis pas certain que ma place soit dans l’industrie de surface.
Si vous suivez mon activité depuis quelques temps, vous savez que j’ai sorti Warcat Parade, un bullet hell, sur Steam. Peu d’entre vous savent également que j’avais envisagé de commencer à développer la suite sur Godot Engine. Figurez-vous qu’entre temps, j’ai appris deux trois techniques de programmation qui pourraient me permettre de relancer le développement de Warcat Parade 2.
Et j’ai un autre projet de pixel art à côté qui urge et qui, lui, est rémunéré. Ce sera la première priorité, avec les tutoriaux.
J’ai appris des trucs !
Lors du développement de Warcat Parade (le premier), j’ai fait deux petites erreurs bénines qui rendait le jeu très lourd sur de petites bécanes. La première venait du background des niveaux. En effet, plutôt qu’utiliser des tilesets, j’avais sûrement du trouver que c’était très intelligent de dessiner un background massif sur Aseprite de plusieurs milliers de pixels de hauteur et de le faire défiler verticalement.
Mais une faute de design qui pouvait être assez grave venait des bullets eux-mêmes. J’ai récemment appris ce que c’était que le « pooling ». Spoiler alert, c’était comme ça que j’aurais du faire et c’est comme ça que je vais faire dorénavant. Grosso modo, ce qu’il se passait, c’est que j’instançiais les ennemis et les bullets à la volée. Je vous dis pas le lag que ça pouvait générer lorsqu’il y a des centaines de bullets à l’écran.
Mais grâce au pooling, tout ça c’est du passé ! Il suffit, avant que le niveau ne commence, de générer, par exemple, 50 exemplaires d’un même bullet, invisibles et inactifs. Lorsqu’un ennemi génère ce type de bullet, au lieu d’en instancier un nouveau, on prend un bullet qui est sur le côté et on le place dans la zone de jeu ! C’est comme du recyclage mais c’est plus difficile à expliquer.
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Hefka Le Nekopunk
Brise la glace !