Les résultats de l’OST Comp Jam 8 sont tombés hier. Je suis arrivé 138ème sur 273. Comme c’est un concours de niveau international, j’estime que je m’en sors pas trop mal. Disons que je suis à peu près dans la médiane. En fait, j’ai toujours eu du mal avec les concours où les participants étaient à la fois participants et juges. C’est très facile de placer des votes stratégiques. Mais ici, l’ambiance avait l’air sympa, notamment sur le Discord, bien que ce dernier soit beaucoup trop stressant pour moi.
Au passage, pour faire un peu de publicité, ma publication favorite à terminé 140ème, soit deux places derrière moi. C’est un album de Speedcore. Techniquement, ça aurait du finir devant moi, mais le système de vote et de karma de itch l’a rétrogradé parce qu’il n’y avait pas assez de votes.
Comme je disais, nous étions tous participants et juges. J’ai noté grosso modo une centaine de soumissions, mais je n’ai pas noté grand chose qui apparaissait dans le top 50. Et maintenant que cette game jam est terminée, j’ai de quoi m’occuper en retournant à Hinomoto avec Disgaea 7.
Je travaille trop ces temps-ci et je ne me détends pas assez, il faut que je ça change. En soi, le jeu est bien, mais je ne sais pas s’il était nécessaire de le ressortir en version « Complete ». J’ai une impression de déjà-vu, et le prix est salé pour le peu de nouveautés que ça apporte. J’espère que le post-game sera assez intéressant pour justifier le prix – même si au moins, on ne peut pas dire que ça manque de contenu, contrairement à l’insipide Japanonymes.
Dans deux semaines sort également Full Metal Schoolgirl que je pense acheter. Je ne sais pas encore. En tout cas il a l’air marrant.
J’entends souvent dire qu’il faut communiquer correctement sur les réseaux. J’avais craché sur les 2000 et les 2010 dans l’article précédent parce qu’ils voulaient des influenceurs avant de voir des artistes. Mais il semble que ce soit le monde entier qui fonctionne comme ça. Écoutez, ça me fatigue. Je continue de créer parce que ça m’amuse, mais pour la communication, je compte autant sur vous que vous comptez sur moi – et ce n’est pas un compliment.
Hefka